http://www.telegraph.co.uk/comment/10948796/Paedophilia-is-natural-and-normal-for-males.html
Comment des professeurs d’université défendent les pédophiles lors de conférences estivales
By Andrew Gilligan 05-07-14
« L’intérêt pédophile est naturel et normal pour les mâles humains, » expliquait la présentation. « Au moins une minorité non négligeable d’hommes normaux aimerait coucher avec des enfants… Les hommes normaux sont excités par les enfants. »
De vieux tracts des années 1970 – début des années 1980, une époque fournie en célébrités violentes ainsi que la fameuse PIE – Bourse aux Informations Pédophiles ? Non. Des commentateurs anonymes sur des sites underground ? Non plus.
L’affirmation que la pédophilie est « naturelle et normale » a été prononcée non pas il y a trois décennies mais en juillet dernier. Elle a été prononcée non pas en privé mais ce fut l’une des principales déclarations d’une présentation académique délivrée, à l’invitation des organisateurs, à nombre d’experts dans le domaine lors d’une conférence tenue à l’Université de Cambridge.
D’autres présentations comprenaient « Libérer le pédophile : une analyse discursive, » et « Danger et différence : les enjeux de l’hébéphilie. »
L’hébéphilie est la préférence sexuelle pour les enfants en tout début de puberté, typiquement entre les âges de 11 et 14 ans.
Un autre participant, et participant enthousiaste, fut Tom O’Carroll, condamné à plusieurs reprises pour avoir eu des relations avec des enfants, défendeur de longue date de la légalisation du sexe avec les enfants et ex-président de la Bourse aux Informations Pédophiles [PIE]. « Merveilleux ! » écrivit-il sur son blog après-coup. « Ce fut quelques rares journées pendant lesquelles je me suis senti relativement populaire ! »
La semaine dernière, après la condamnation de Rolf Harris, le rapport concernant Jimmy Savile et les allégations d’un étouffement de l’affaire par l’establishment afin de protéger un ministre pédophile du cabinet de Margaret Thatcher, la Grande Bretagne a été profondément choquée par les abus sur des enfants dans les années 1980. Mais ce qui est passé inaperçu dans le tohu-bohu est une menace bien plus prégnante : des tentatives, en ce moment même, de la part de membres des universités pour repousser les limites quant à l’acceptabilité de la pédophilie.
Un facteur clé dans ce qui est arrivé pendant toutes ces décennies dans les loges de la BBC, les salles du NHS [National Health Service] et, supposément, les couloirs du pouvoir n’était pas seulement des carences institutionnelles ou des « complots » de l’establishment, mais un climat de tolérance intellectuelle bien plus permissif pour des pratiques qui aujourd’hui horrifient.
Avec la pilule, la légalisation de l’homosexualité et la régression des tabous concernant le sexe avant le mariage, les années 1970 furent une époque d’émancipation sexuelle subite. Nombre de libéraux, bien sûr, virent à travers la rhétorique cynique de « libération de l’enfant » émanant de PIE. Mais pour d’autres membres de la gauche, le sexe par ou avec des enfants était une barrière répressive de plus à abattre – et parmi les plus ardents défenseurs d’une telle thèse on trouvait les universitaires.
En 1981, une maison d’édition respectable, Batsford, publia Perspectives sur la Pédophilie, compilé par Brian Taylor, un conférencier en sociologie à l’Université du Sussex, afin de contrer ce que l’introduction du Dr Taylor appelait le « préjudice » contre le sexe avec les enfants. De manière choquante, le livre était destiné aux « travailleurs sociaux, travailleurs dans les communautés, les agents de probation, et les personnes travaillant au contact des enfants. »
Le public, le Dr Taylor écrivait-il, « pense généralement aux pédophiles comme des hommes malades ou diaboliques qui traînent près des cours d’écoles dans l’espoir de manifester des pratiques bestiales indéfinies sur des enfants innocents et peu méfiants. » Ceci, rassurait-il ses lecteurs, était tout simplement un « stéréotype, » à la fois « inexact et peu serviable, » et qui allait à l’encontre des « réalités empiriques du comportement pédophile. » Et pour cause, la plupart des relations adulte-enfant avaient lieu au sein de la famille !
Les perspectives de la plupart des, si ce n’est tous, contributeurs, apparaissait clairement pro-pédophile. Au moins deux étaient membres de PIE et au moins un, Peter Righton (qui, de manière absolument incroyable, était directeur de l’éducation à l’Institut National des Œuvres Sociales) fut plus tard condamné pour crimes sexuels à l’encontre d’enfants. Mais du point de vue d’aujourd’hui, ce qui frappe à propos des Perspectives sur la Pédophilie est qu’au moins deux des contributeurs sont toujours actifs et influents académiquement parlant.
Ken Plummer est professeur émérite de sociologie à l’Université d’Essex, où il a un bureau et enseigne des cours, le plus récent programmé pour le mois dernier. « L’isolation, le comportement secret, le sentiment de culpabilité et l’angoisse de beaucoup de pédophiles, » écrivait-il dans Perspectives sur la Pédophilie, « ne sont pas inhérentes au phénomène mais sont dus à l’extrême répression sociale exercée sur les minorités…
« On dit aux pédophiles qu’ils sont des séducteurs et violeurs d’enfants ; ils savent que leurs expériences sont amoureuses et tendres. On leur dit que les enfants sont purs et innocents, dépourvus de sexualité ; ils savent à la fois de leur propre expérience de l’enfance et des enfants qu’ils rencontrent que ce n’est pas le cas. »
[…]
La conférence de l’Université de Cambridge des 4-5 juillet de l’année dernière traitait de la classification de la sexualité dans le DSM, un manuel psychiatrique international standard utilisé par la police et les cours de justice.
À la suite d’une âpre bataille au sein de l’Association Psychiatrique Américaine, qui le publie, une proposition pour inclure l’hébéphilie comme trouble psychologique dans l’édition la plus récente a échoué. La proposition fut soumise parce que la puberté chez les enfants démarre de plus en plus tôt avec chaque décennie qui passe, et par conséquent il fut avancé que la définition actuelle de pédophilie – attraction sexuelle pré-pubertaire – ne comprenait pas assez de jeunes.
[…]
Mais la présentation peut-être la plus controversée de toutes fut celle de Philip Tromovitch, professeur à l’Université de Doshisha au Japon, qui affirma « la prévalence de la pédophilie » et que « la plupart des hommes sont probablement des pédophiles et hébéphiles » et que « l’intérêt pédophile est normal et naturel chez les hommes. »
[…] [Fin de l'article]
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Aux USA c’est NAMBLA – Association Nord-Américaine pour l’Amour Homme-Garçon – qui fait la pub de l’hébéphilie/pédophilie.
Elle serait financée entre autres par l’empereur Palpatine George Soros.
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