En bon socialiste, Maduro a décidé qu'il en avait marre de l'opposition et que c'était quand-même mieux d'être dictateur, bénévolent bien entendu.
Malheureusement il est un peu tard pour cela:
Déjà que le pays est à court d'essence, voilà que les taux obligataires montent en flèche (les prix baissant). Il est temps de parier sur l'explosion du pays. 2017? Août? Novembre?...
Idem au Paraguay où le Président veut changer la constitution l'empêchant de briguer un nouveau mandat. Comme tout parasite, le politique s'attache au pouvoir et suce le sang de son hôte...Du coup le peuple est dans la rue tous les jours.
Ceux qui rendent la révolution paisible impossible rendront la révolution violente inévitable.
No comments:
Post a Comment