Nous avons naturellement pensé à enquêter sur d’autres corrélations cosmophysiques possibles après avoir identifié, étape par étape, la dépendance de la forme des histogrammes à l’exposition ou à la position relative de l’instrument de mesure vis-à-vis de la sphère des étoiles fixes ou du Soleil. Boris Mikhaïlovitch Vladimirsky a indiqué les périodes proches de 27 jours se retrouvant fréquemment en astrophysique, ce qui a attiré mon attention. Suite à son conseil, j’ai cherché de telles périodes dans les séries d’histogrammes. Nombres d’extrêmes tombent en effet dans les intervalles de 26-27 jours. Les distributions correspondantes du nombre de paires d’histogrammes similaires comme fonction des intervalles de temps les séparant semblaient très inhabituelles. Ces types particuliers de distributions ont soulevé des doutes quant à leur validité. À cause de ces doutes j’ai été amené à chercher de manière répétée des périodes de 26-27 jours. […]
9.1 Périodes de 27 jours obtenues à partir de mesures de radioactivité
Dépendance de la probabilité de récurrence d’histogrammes similaires à intervalles de temps séparés proches de la période de 27 jours. L’activité α de 239Pu a été mesurée en 1994-95.
9.2 Période de 27 jours dans les mesures de bruit [au sens statistique] d’une antenne “Ulitka” servant à la détermination du gradient de gravitation
[…] Ainsi, les motifs [patterns] découverts dans l’activité α et dans le bruit des antennes de mesure du gradient de gravitation sont équivalents. La plage de près de 27 jours est particulièrement intéressante pour le phénomène étudié. Les régularités paraissent être indépendantes du processus étudié : l’étendue des changements d’énergie dans la désintégration α et les bruits des piézo-détecteurs diffèrent de plusieurs échelles de valeur.
Qu’est-ce que ce grand nombre d’extrêmes peut signifier ou impliquer ? Ces changements de la probabilité de récurrence d’histogrammes similaires se trouvent autour de la période de 27 jours, ainsi que dans des mesures de processus complètement différents (peut-être même n’importe quel type arbitraire de processus ?). Des périodes proches d’un jour, le synchronisme lié à l’heure locale, et les périodes annuelles mènent naturellement à l’implication que les formes des histogrammes sont dépendantes de l’orientation du point de mesure vis-à-vis des corps célestes. L’existence de jours stellaires permet d’établir la corrélation entre les formes des histogrammes et l’orientation vers les étoiles fixes. Le jour solaire est la preuve de la dépendance à l’orientation relative au Soleil. La relation la plus distincte des périodes proches de 27 jours inclut la localisation des trois corps célestes suivants : la Terre, la Lun, et le Soleil.
Période sidérale de la rotation du Soleil à l’équateur | 25,38 jours | 609,12 heures |
Période synodale du Soleil (relativement à la Terre en mouvement) : cette période de temps sépare le passage du méridien zéro à travers le centre du disque solaire | 27,28 jours | 654,72 heures |
Mois sidéral de la Lune : la Lune retourne vers la même étoile | 27,32 jours | 655,68 heures |
Le mois synodal de la Lune : la Lune retourne à la même position relativement au Soleil | 29,53 jours | 708,72 heures |
Le mois du dragon de la Lune : période pour que la Lune retourne au même nœud de son orbite (point d’intersection sur l’écliptique ; deux nœuds au total) | 27,21 jours | 653,04 heures |
Chapitre 10 Périodicités annuelles
10.1 Histogrammes similaires
…Cela amena à la conclusion du caractère non aléatoire des formes des histogrammes et au fait que la récurrence régulière de leurs formes est corrélée avec les mouvements annuels de la Terre autour du Soleil.
Séries d’histogrammes similaires construites à partir de mesures prises aux mêmes jours et aux mêmes heures avec un intervalle de temps d’exactement 6 ans ; les mesures furent obtenues à partir de l’activité enzymatique de la créatine kinase en 1978, et des taux de réaction de l’acide ascorbique et du DCPIP en 1984. Chaque histogramme représente 250 mesures.
Des histogrammes similaires réapparaissent à intervalle d’un an avec deux pics prononcés, celui de l’année calendaire égale à 525.599 et 525.600 minutes, et celui de l’année sidérale égale à 525.969 minutes ; la précision des histogrammes est d’une minute. Ils représentent les mesures d’activité de 239Pu le 24 novembre 2001 et le 24 novembre 2002. En abscisses l’intervalle de temps entre des histogrammes similaires en minutes, en ordonnées le nombre de paires d’histogrammes similaires.
Nous faisons les hypothèses suivantes :
- La périodicité annuelle, similaire à la périodicité quotidienne, comporte deux extrêmes clairement distincts : le premier correspond à « l’année calendaire » de 365 jours ; le second correspond à « l’année sidérale » qui est plus longue de 369 minutes ;
- Des histogrammes similaires réapparaissent ainsi : chaque année « calendaire », une minute plus tôt que la date estimée ; deux minutes plus tôt toutes les deux années « calendaires » ; trois minutes plus tôt toutes les trois années « calendaires », etc.
[…] De ces découvertes on en conclut que des corrélations existent entre les formes des histogrammes et le mouvement de la Terre autour du Soleil. Ces résultats sont en parallèle de la corrélation établie entre les mêmes formes des histogrammes et la rotation axiale de la Terre.
Chapitre 11 Le collimateur orienté vers l’étoile polaire
[…] Les premières séries de mesures montrèrent la chose suivante : toutes choses étant égales par ailleurs, l’instrument de mesure de contrôle (sans collimateur) a démontré « l’effet de proximité » et la périodicité de 24 heures dans les changements des formes d’histogrammes, alors que l’instrument avec collimateur pointé vers l’étoile polaire ne montre ni « l’effet de proximité » ni la périodicité quotidienne.
Mesures de l’activité α de préparations de 239Pu avec un instrument équipé d’un collimateur à Pushino, canalisant les particules alpha volant durant la désintégration radioactive vers l’étoile polaire, l’effet de proximité et la période de changements de près d’un jour dans les formes des histogrammes sur 60 minutes disparaissent. A : mesures avec l’instrument de contrôle (sans collimateur) ; B : mesures avec collimateur. Les intervalles (en heures) en abscisses, le nombre de paires d’histogrammes similaires en ordonnées.
[…] Cela amène à la conclusion que la forme d’un histogramme dépend non seulement de la conformation du ciel au-dessus du lieu où sont effectuées les mesures mais également – et encore plus – de la direction de l’émission des particules alpha. Cela implique une forte anisotropie de l’espace.
Ce résultat implique que ce n’est pas l’objet étudié qui donne naissance aux régularités observées ni aucun effet arbitraire de ces objets étudiés : les effets observés sont similaires pour une préparation de 239Pu, à 54º de latitude nord, et pour des mesures prises par l’expédition dans l’Arctique. On en conclut que les régularités des changements des formes des histogrammes sont déterminées par la direction de l’émission des particules alpha lors de la désintégration radioactive.
La distribution des intervalles entre des histogrammes similaires dépend de la direction d’émission des particules alpha lors de mesures de désintégration radioactive α de 239Pu. Les mesures ont été obtenues entre janvier et juin 2002. A : mesures du flux des particules alpha à partir d’un échantillon orienté vers l’ouest (avec un détecteur à plat) ; B : mesures du flux des particules alpha atteignant un détecteur via un collimateur orienté vers l’étoile polaire. En ordonnées le nombre de paires d’histogrammes similaires. Là encore l’effet de proximité et la périodicité quotidienne disparaissent en B.
Chapitre 12 Expériences avec collimateurs orientés vers l’ouest et l’est
[…] La forme d’un histogramme est en premier lieu déterminée par la direction dans laquelle les particules alpha sont émises lors de la désintégration radioactive.
Chapitre 13 Expériences avec collimateurs rotatifs
Chapitre 14 Expériences avec collimateurs orientés en permanence vers le Soleil
[Lors de ces expériences nous avons mis en lumière une autre périodicité de 1.444 minutes.]
Une période de 1.444 minutes apparaît dans les mesures prises avec un collimateur pointé sur le Soleil. Les périodicités de 1.436 minutes et 1.440 minutes sont également présentes, contrairement aux mesures prises avec un collimateur orienté vers l’ouest. Mesures obtenues le 24 juillet 2005.
14.2 Conclusions
Ces résultats impliquent qu’au moins à deux reprises chaque année lors de son orbite autour du Soleil, la Terre pendant plusieurs jours pénètre une zone de l’espace ayant des « propriétés étranges » changeant toutes les 1.444 minutes. Cette section de l’espace est une « bande d’anomalie » pointée à travers le centre de l’orbite (à travers le Soleil) dans la direction de « juillet-janvier ». Il est formidable que les « propriétés » de cette anomalie ne soient pas impactées par le Soleil. Par conséquent elles s’expriment des deux côtés du Soleil de la même façon. Aucune analogie avec l’effet Doppler n’a pu être dressée non plus : la périodicité de 1.444 minutes apparaît « soudainement », ne change pas, et disparaît tout aussi « soudainement ». […] La périodicité de 1.444 minutes fait 4 minutes de plus que la durée d’un jour et ne peut donc être expliquée par aucuns facteurs à l’intérieur du système solaire.
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