Saturday, 4 February 2017

La science derrière l'astrologie


En 1997, Percy Seymour, Directeur du Planétarium William Day et conférencier en astronomie de l’Université de Plymouth, R-U, a publié La Base Scientifique de l’Astrologie. Il détient des doctorats en astronomie et astrophysique, et son expertise des champs magnétiques lui a permis de gagner la reconnaissance de ses pairs. Le professeur Seymour notait dans sa Théorie Magnétique de l’Astrologie :

Il est désormais admis par presque tous les scientifiques que le cycle d’éruptions solaires affecte le champ magnétique terrestre, et le phénomène responsable de cet effet, le vent solaire, a été détecté. Il est également avéré que la Lune cause les marées dans la haute atmosphère, ce qui donne naissance à des courants électriques, et ceux-ci génèrent la variation magnétique quotidienne de la Lune. Il y a également moult preuves que tant l’état régulier que le comportement fluctuant du champ géomagnétique peut être utilisé par les organismes, l’homme compris, dans le but de trouver l’orientation ou de maintenir une horloge interne. Tout cela est bien documenté, et largement accepté. Il existe des preuves, largement ignorées quant à elles, que les positions et mouvements des planètes vues du Soleil jouent un rôle majeur dans le cycle solaire.

De plus, il y a des preuves – hautement controversées mais difficile à ignorer – que certaines positions des planètes vues de la Terre au moment de la naissance sont liées à des caractéristiques personnelles des individus. Ces preuves existent. Ce que ma théorie fait est de préparer une interprétation, basée sur ces preuves, qui peut être scientifiquement testée. Pour rester bref, les étapes sont comme suit :

1.       Les planètes affectent le cycle solaire de manières spécifiques.
2.       Le cycle solaire affecte le champ géomagnétique.
3.       Le champ géomagnétique affecte la vie sur Terre de manières observables.
4.       En particulier, de nombreuses espèces, dont l’homme, peuvent être influencées par des états particuliers du champ géomagnétique.
5.       Les influences particulières semblent être corrélées aux positions des planètes.
6.       Je soumets que le comportement du fœtus au moment de la naissance est lié aux cycles du champ géomagnétique, qui à leur tour sont influencés par le cycle solaire et les positions des planètes. La résonance est le phénomène par lequel le fœtus est en phase avec certains cycles.

Ma théorie propose que les planètes Jupiter, Saturne, Uranus, et Neptune contrôlent la direction des mouvements de convexion au sein du Soleil, ce qui génère le champ magnétique solaire. Elles font cela parce qu’elles jouent le rôle le plus important dans le mouvement du Soleil autour du centre de masse du système solaire. Alors que le cycle solaire croît à son maximum, certaines configurations de toutes les planètes, à différentes étapes, jouent un rôle dans la perturbation du champ magnétique solaire, au moyen d’un « effet de marée » (à cause de la gravitation) des planètes sur les gaz brûlants du Soleil. Ainsi les planètes jouent un rôle dans la modulation du champ magnétique terrestre du fait du vent solaire. Je propose également que cet « effet de marée » des planètes sur les gaz brûlants enfermés dans notre magnétosphère fixeront, du fait de la résonance, certaines des vibrations du champ terrestre en synchronie avec les mouvements des planètes. Les fluctuations du champ magnétique terrestre en résultant sont perçues par le système nerveux du fœtus, qui agit telle une antenne, et elles synchronisent les horloges internes du fœtus qui contrôlent le moment de la naissance. Le réglage de l’antenne magnétique du fœtus est mené par les gènes dont il hérite, et ceux-là détermineront dans une certaine mesure ses caractéristiques de personnalité héritées génétiquement. Ainsi les positions des planètes à la naissance ne modifient pas ce dont nous avons hérité génétiquement mais affectent les caractéristiques de personnalité dont nous héritons.

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