Friday 4 August 2017

Winston Churchill, criminel de guerre

Cet essai de 1944 par Alfred Rosenberg analyse une collection d’essais de Churchill datant d’avant la guerre. Rosenberg en conclut que Churchill cherchait depuis longtemps à faire la guerre à l’Allemagne, soutenu en coulisse par les Juifs et les intérêts anglo-américains.
Alfred Rosenberg, “Der Kriegsverbrecher Churchill,” Der Schulungsbrief, (March/April 1944), p. 20-22, 28.


Churchill, le criminel de guerre

Par Alfred Rosenberg

Pendant nombre d’années, le principal propagandiste anti-allemand a été Winston Churchill, poussé par l’argent de sources américaines et juives. Il est par conséquent instructif d’examiner la carrière ce de criminel de guerre, à l’aide de ses propos à lui.
Avant même de devenir PM, Churchill se dressait de manière répétée contre l’Allemagne dans ses articles, attaquant avec colère par-dessus tout quiconque en Angleterre visait à une entente avec celle-ci. Plus tard, Churchill a confirmé son agitation journalistique en publiant ses essais, puis à peine retouchés, sous la forme d’un livre. Il l’a intitulé Step by Step [Etape par Etape]. Il contenait ses essais écrits entre 1936 et 1939. Step by Step était destiné à suggérer que le Reich avait intentionnellement causé une nouvelle guerre mondiale, et que c’était en réalité Churchill lui-même qui avait averti les nations soi-disant civilisées de cela. En fait, la haine de Churchill pour la Renaissance européenne et son ordre paisible transpire dans chacune des lignes du livre. Examinons plusieurs admissions involontaires plus attentivement.

Un des points centraux de la pensée de Churchill a à voir avec les milliards d’investissements anglais en Extrême-Orient. Tout tourne autour du commerce de l’opium [forcé sur la Chine après la première guerre de l’opium, afin de pouvoir financer leurs achats de thé] et autres affaires profitables. Churchill cotôyait des gens riches et il souhaitait leur aide et leurs faveurs pour devenir PM de G-B. Le 3 septembre 1937, il publia un article intitulé « The Wounded Dragon » [Le Dragon Blessé], une référence à la Chine. Il écrit :

Aucune puissance, sauf après de longues préparations, ne pourrait imposer sa volonté sur le Japon dans la Mer Jaune. Si les USA et la G-B agissaient de concert pendant plusieurs années, et si elles étaient soutenues par l’URSS, des représentations pourraient sans aucun doute être faites auxquelles le Japon devrait se déférer. […]
Nous avons créé de vastes établissements et commerces en Chine qui n’ont apporté rien d’autre que le bien aux Chinois… Les missionaires européens et américains ont porté leur message sans crainte aux recoins de la Chine.

Ces propos montrent clairement que Churchill souhaitait une alliance entre l’Angleterre, les USA, et l’Union Soviétique deux ans avant que la guerre n’éclate. Les Chinois, ruinés par l’Angleterre, sont ridiculisés quand il dit que la fourniture d’opium par l’Angleterre et les missionaires n’ont apporté « que du bien. » Tout le monde savait que la Chine était la cible des intérêts juifs et de la haute finance, et le ton moralisateur de Churchill n’arrive pas à cacher les véritables raisons de sa politique en Extrême-Orient. Churchill se focalisa en 1937 sur la protection des affaires anglaises en Chine, ajoutant dans la même phrase : « Si l’Europe souhaite dialoguer avec l’Orient, elle devra d’abord faire le ménage chez elle ['se nettoyer' ? - “If Europe wishes to talk to the East, she will have to clean up her home lines first.”]. »

Cette phrase révèle ce qu’il y a à savoir sur toute la politique de guerre de Churchill. Il veut « nettoyer » l’Europe, ce qui rend impossible tout effort commun qui pourrait bénéficier au continent tout entier et faire naître un ordre nouveau. Il veut perpétuer l’impotence et la fragmentation des états européens civilisés. Après que l’Europe aura été « nettoyée, » et après que l’Inde et le Moyen Orient auront été exploités, il veut amener tout l’Extrême-Orient sous la coupe du capitalisme voleur de la City et de Wall Street, autant que de les soumettre à la menace bolchévique.
Après ce départ, Churchill révèle comment il souhaite préparer ce « nettoyage. » Cela implique l’isolation et la défaite du Reich. Quand le Führer et le Duce se rencontrent à l’automne 1937, Churchill écrit la chose suivante le 1er octobre :

Les démocraties occidentales, désormais armées et s’armant lourdement, ont beaucoup à donner à ces dictateurs, si seulement ils prouvaient qu’ils souhaitent être nos alliés et pas le fléau de notre humanité commune. Si une véritable concertation de l’Europe était rétablie, nos griefs collectifs ne seraient pas ignorés en Extrême-Orient.

Churchill ne pense qu’à instaurer une nouvelle union au sein de l’Europe, ce qui signifie une situation dans laquelle l’Angleterre est le chef de chœur. Ce commentaire selon lequel les démocraties occidentales sont armées, et s’arment lourdement, montre que les déclarations faites plus tard d’un « manque de préparations » n’étaient qu’un mensonge. Quand l’Italie, sous Mussolini, a avec succès établi une base en Afrique, Churchill a écrit, fumant, le 4 mars 1939 :

Mais ce n’est pas la fin. La réalité sous-jacente et les vérités en Europe se feront jour de plus en plus. Dans peu de temps on saura si les espoirs de Mr Chamberlain [alors PM de G-B] de séparer Mussolini d’Hitler seront réalisés. S’ils ne le sont pas, rien d’autre que Mussolini pourrait nous donner ne sera d’aucune valeur pour nous. […] Si Mussolini est désireux de se séparer d’Hitler, de se tenir avec la France et la G-B, et d’aider à appuyer l’indépendance de l’Autriche, il y aura un gain indiscutable.

Ces propos révèlent non seulement la politique de Churchill, mais également celle du PM Chamberlain. On apprend de la bouche de Churchill que le bon Mr Chamberlain s’est servi de toutes ses forces pour séparer Mussolini d’Hitler, ce qui mène à la conclusion nécessaire que le but était d’encercler les deux, de « nettoyer » l’un puis l’autre.

La référence à l’Autriche comme la souhaitable nouvelle base de lancement à côté de la Tchécoslovaquie est plus que limpide. C’est pour celq que Churchill piqua une colère noire lorsque l’Ostmark austro-allemande se joignit au Reich. Dans un article intitulé « The Austrian Catastrophe » [le véritable titre était « The Austrian Eye-Opener »] daté du 18 mars 1938, Churchill écrivit sur « la prise et l’assujettissement de l’Autriche, » bien que cet homme ait très bien su que seule une très petite clique de Juifs et de réacs faisait attention à ce que disaient l’Angleterre et les Juifs, alors que la population décente de l’Ostmark [Autriche] pouvait à peine contenir sa joie alors que le rêve d’une union de tous les Allemands devenait une réalité – comme il est permis par le droit à l’auto-détermination que même l’Entente avait un temps proclamé.
Dans le même article, il initia son attitude belliciste afin d’amener une coalition de guerre contre l’Allemagne.

La première étape est de trouver quelle puissance de second rang en Europe serait prêtre à rejoindre la G-B et la France pour une action spéciale, sans exclure une résistance armée, sous l’Alliance de la Ligue.

Il n’est pas sans intérêt d’établir que la puissance Angleterre a immédiatement essayé de découvrir quelles puissances européennes « plus petites » pourraient servir de chair à canon contre le Reich. La remarque devient encotre plus piquante quand on lit plus loin : « Il doit être clairement exprimé qu’il n’y a pas de désir d’encercler l’Allemagne, mais seulement d’encercler un agresseur. »

Encerclement ! Il est connu que la politique britannique a toujours affirmé n’avoir aucune intention d’encercler l’Allemagne. Mais là Winston Churchill lui-même a utilisé ce mot d’ « encerclement, » et nul ne peut l’effacer. Il a lui-même confirmé par ses propos un projet d’encerclement de l’Allemagne, qu’il traite insolemment d’agresseur. Aucune tentative de dissimulation ex post facto ne peut sauver Churchill le belliciste qui s’est mis à jour par ses écrits.

A travers toute la période, Churchill a compté sur la France comme partenaire junior, et a naturellement craint que ses différents partis affaiblissent sa puissance militaire. En 1938 il écrivit à propos du gouvernement Dalladier tout juste formé :

Si la France craque, tout sera perdu, et la domination nazie de l’Europe, et potentiellement d’une vaste partie du monde, semblera inévitable.

C’est un mensonge de plus, de suggérer que l’Allemagne voulait non seulement unir tous les Allemands, mais aussi assujetir le monde entier sous sa « tyranie. » Il se tourne ensuite vers une méchante agitation contre tous les Anglais décents qui souhaitent réllement la paix. Il écrit :

Je me demande si les Français réalisent à quel point amère et persistante est la propagande pro-allemande sur notre île ? Le point le plus saillant, établi à de multiples reprises, est que la France est au bord de l’effondrement. On la dépeint comme sur le point de tomber dans le même égoût sanglant que l’Espagne. Toutes les brigades « Heil Hitler » de la société londonienne exploitent et se vantent de ce qu’il leur plaît d’appeler « l’impuissance parlementaire de la démocratie française. »

Les brigades juives de Churchill ont guidé sa tentative de ridiculiser les « brigades Heil Hitler » de Londres, alors même qu’elles étaient composées d’Anglais perceptifs. Elles l’ont financé, et étaient également les principales forces agitatrices derrière Roosevelt aux USA. Les ambassadeurs US en France et Pologne ont attisé les flammes du conflit de manière continuelle et intentionnelle. Après avoir souhaité « un franc succès » à Daladier, Churchill mentionne les forces juives en France :

Mais il a une force politique importante en réserve. Mr Blum ne faillira pas à la cause de la liberté en Europe. Son influence au sein du PS est forte. Il fournira certainement une aide loyale.

Le Juif Blum, bien entendu, était l’espoir de tous les lacquais Juifs, et l’un des principaux agitateurs opposés à une entente entre le Reich et la République Française.

Suivant les essais en ordre chronologique, j’en arrive à mai 1938. Churchill revient aux supposées difficultés des Japonais en Chine, notant dans son article du 26 mai que ces difficultés sont principalement dues aux menaces russes :

Ici nous devons reconnaître les services que la Russie Soviétique rend en l’Extrême-Orient à la civilisation et également aux intérêts britanniques et américains.

Le 6 juillet, Churchill geint une fois de plus quant au soi-disant viol de l’Autriche, mais il s’inquiète surtout des Juifs. Il se plaint de l’incarcération du représentant de la haute finance juive, Rothschild, du fait terrible que les « Juives » sont obligées de nettoyer les rues, puis continue :

Mais 300.000 Juifs à Vienne représentent un problème de vaste dimension à une politique d’extirpation.

Après que Churchill s’est plaint des supposées conditions économiques difficiles des Juifs, il en vient, comme toujours, à des menaces :

Le récit de leur tribulation se répand vivement à travers le monde, et il est étonnant que les dirigeants allemands ne soient pas plus inquiétés par les marées de dégoût et de colère qui montent sans cesse contre eux à travers les USA, eux-mêmes en phase d’armement.

Churchill voit la colère juive plutôt que le fait qu’il n’est pas possible de mettre fin au Reich – vu que l’Allemagne a libéré son territoire des parasites – comme un facteur politique décisif, et par conséquent révèle involontairement l’étendue de l’incapacité des Anglais et Américains à se gouverner eux-mêmes, à prendre leur destin et leurs actions en main -- les « USA en phase d’armement poussée » -- dépendant de la rage et des opinions des parasites financiers juifs et autres agitateurs bolchéviques.

Cette déclaration de Churchill montre dans quelle direction, et aux ordres de qui, le PM actuel de G-B mène sa politique. Il est sain de s’intéresser de temps en temps à ce qu’un criminel de guerre écrivit un temps, puis rassembla sous forme de livre. Cela révèle que ses crimes de guerres étaient systématiquement planifiés.

Cela place tous ces communiqués mensongers, lancés de quelque conférence mondiale où lui et ses amis se sont rassemblés. Cela montre comment Churchill s’est élevé « étape par étape » au pouvoir, motivé par la haine et une fierté excessive, soutenu par l’agitation juive. Le but clairement établi était de fire de l’Extrême-Orient un objet d’exploitation pour la ploutacratie juive mondiale, de « nettoyer » l’Europe par la même occasion afin de la rendre impuissante, de la découper en petits morceaux, de la diviser en états se battant entre eux afin qu’ils ne s’impliquent pas dans la politique mondiale, et au final de s’appauvrir. Dans ce but, il a œuvré de concert avec Mr Chamberlain pour isoler l’Italie fasciste de l’Allemagne, d’arranger une alliance des peuples plus réduits contre le Reich (signifiant probablement par là la Tchécovslovaquie, la Pologne, puis plus tard la Belgique et les Pays-Bas), et d’user de « l’indépendance » de l’Autriche comme base de lancement d’une attaque de la conjuration mondiale anti-européenne afin d’assujetir les Allemands aux politiques d’exploitation juives.


Mr Churchill est devant nous aujourd’hui en tant que criminel de guerre, comme un criminel tout court, révélé à travers ses propres écrits et déclarations. Il serait bon pour les soi-disant neutres de faire sérieusement attention à ses propos, et de connaître la situation dans laquelle le Reich se trouve aujourd’hui. Alors ils comprendront que ce Reich est la seule force luttant contre la conjuration Juive-Anglaise-Américaine oeuvrant de destruction, et qu’il se sert de toutes ses forces pour défendre et protéger la vieille Europe, même les vies de ceux qui ne croient pas devoir prendre la guerre au sérieux, vu qu’ils vivent à l’abri du conflit.


*****

1ère GM

"Should Germany merchandise (do business) again in the next 50 years we have led this war (WW1) in vain." 

Si l'Allemagne en venait à faire du commerce à nouveau dans les 50 prochaines années, nous aurons fait cette guerre [1ère GM] en vain.

- Winston Churchill in The Times (1919) 


2nde GM

"We will force this war upon Hitler, if he wants it or not." 

Nous forcerons cette guerre sur Hitler, qu'il le veuille ou non.

- Winston Churchill (1936 broadcast) 

"Germany becomes too powerful. We have to crush it." 

L'Allemagne est devenue trop puissante. Nous devons l'écraser.

- Winston Churchill (November 1936 speaking to US General Robert E. Wood) 

"This war is an English war and its goal is the destruction of Germany." 

Cette guerre est une guerre de l'Angleterre et son but est la destruction de l'Allemagne.

- Winston Churchill (Autumn 1939 broadcast) 

"The war wasn't only about abolishing fascism, but to conquer sales markets. We could have, if we had intended so, prevented this war from breaking out without doing one shot, but we didn't want to."

La guerre n'était pas seulement destinée à abolir le fascism, mais également à conquérir des marchés commerciaux. On aurait pu, si on en avait eu l'intention, empêché cette guerre d'éclater sans tirer un seul coup de feu, mais on ne l'a pas voulu.

- Winston Churchill to Truman (Fultun, USA March 1946) 

"Germany's unforgivable crime before WW2 was its attempt to loosen its economy out of the world trade system and to build up an independent exchange system from which the world-finance couldn't profit anymore. ...We butchered the wrong pig." 

Le crime impardonnable de l'Allemagne avant la 2nde GM a été sa tentative de détacher son économie du système des échanges mondiaux et de bâtir un système d'échange indépendant duquel la finance mondiale ne pouvait plus tirer profit. ...On a embroché le mauvais cochon.

- Winston Churchill (The Second World War - Bern, 1960)

"The enemy is the German Reich and not Nazism, and those who still haven't understood this, haven't understood anything." 

L'ennemi est le Reich et pas le nazisme, et ceux qui ne l'ont toujours pas compris n'ont rien compris.

- Churchill's chief counselor Robert Lord Vansittart (as said to foreign minister Lord Halifax, September 1940)

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