Comprenant que la Syrie était un élément critique de sa stratégie énergétique, la Turquie a tenté de persuader le président Syrien Bashar el Assad de contrecarrer le pipeline iranien et de travailler avec le pipeline proposé allant du Qatar à la Turquie, qui satisfaisait la soif de domination pétrolière tant de cette dernière que des pays du Golfe. Mais après qu'Assad a refusé, la Turquie et ses alliés sont devenus les principaux architectes de la guerre "civile" syrienne.
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