Monday, 17 October 2016

Préparation à la 3ème GM II - Martin Armstrong



Alors qu’Obama ajoute aux allégations d’un piratage par les Russes de l’élection présidentielle dans le but de faire gagner Trump, en Russie ils avertissent leurs citoyens que la guerre approche et qu’elle sera peut-être nucléaire. Ils avertissent que l’OTAN adapte ses avions de conbat pour l’utilisation d’armes nucléaires, « ce qui est un signe de la préparation à la guerre avec la Russie. » Un site web a été créé, voué à la 3ème GM et donnant des conseils sur comment s’y préparer.

ABC rapporte que la télé russe a prévenu d’une possible guerre nucléaire alors que les tensions avec les USA montent. La presse américaine ne doute pas de ce qui est en train de se passer alors que nous avons un président qui a gagné le prix Nobel de la paix. Ils ne regardent aux histoires soumises par Obama selon lesquelles une victoire de Trump serait la preuve d’une cyber-attaque russe. Le WaPo veut nous faire gober que la Russie veut la guerre. Pendant ce temps le Daily Mail rapporte que le Kremlin appelle les menaces de Joe Biden « d’une cyber-attaque » de la Russie comme étant « sans précédent » et promet de se protéger des USA « agressifs et imprévisibles. » CNN a rapporté que la Russie et les USA avaient dépassé la Guerre Froide vers une confrontation imprévisible.


Personnellement je n’étais qu’un enfant en 1962, mais je me souviens d’avoir discuté avec mes amis de la crise des missiles de Cuba qui a duré 13 jours (16-28/10/62). C’est le plus près que nous ayons été de la 3ème GM jusqu’à aujourd’hui. […]

Je suis désolé de dire que cette confrontation arrive dans les temps prévus par le modèle.




Les préparations pour la déclaration de l’élection comme étant frauduleuse tournent à plein régime. Les journaux sont bourrés de ces histoires fabriquées selon lesquelles la Russie va pirater les votes pour s’assurer d’une victoire de Trump – pas d’Hillary. Les démocrates avancent désormais l’argument que la source de Wikileaks pour tous ces emails c’est également la Russie, et disant que Wikileaks était pour la vérité par le passé mais que maintenant ils étaient devenus des pions de Trump et Poutine. Les démocrates essaient même de prétendre que les emails sont faux.
…La Russie sera blâmée quoi que Poutine fasse. Il est impossible d’identifier un hacker qui est vraiment un pro. […]

…Cela fait partie d’un conditionnement du peuple américain visant à faire que si Trump gagne, le vote sera déclaré frauduleux et ils pourront annuler toute l’affaire.
IL N’Y A PAS MOYEN que l’establishment permette à Trump de gagner dans tous les cas.


Tout est en place pour blâmer la Russie en cas de victoire de Trump. Ils préparent les médias qui, à 99%, se sont mis aux côtés d’HC ; le complot de la lügenpresse pour abreuver le peuple de propagande tourne à plein régime. Pendant ce temps Obama continue à soutenir les Sunnites dans leur guerre civile avec l’objectif d’attaquer les forces russes en Syrie. Notre modèle indique que la plus forte participation aux élections aura lieu ici en 2016. Cela glace le sang des politiciens à vie.
Deux scénarios circulent en coulisse. J’ai déjà mentionné que dans le premier Obabma déclarait la loi martiale, suspendait la constitution, et restait président, refusant de permettre à Hillary ou Trump de monter sur le trône, puis il laisserait sa place à Joe Biden. Certains pensent que c’est trop extrême.
D’autres pensent qu’Obama blâmera toujours la Russie, mais soumettre le truc au Congrès pour prétendre que le tout est constitutionnel.

Dans tous les cas, on ne dirait pas qu’ils laisseront Trump être élu, quels que soient les votes.

[…]


Notre modèle indique 2032 comme l’année de la décomposition totale du système politique. Cela fera 52 ans à partir de 1980, les cibles précédentes étant 1928, 1876, 1824, et 1772. La cible actuelle de 2016 ramène à 1964 et l’assassinat de Kennedy, 1912 et la défaite du parti du progrès (socialisme). Il semble que 2016 sera à la hauteur des attentes.


Les comptes de la chaîne RT bloqués au Royaume-Uni; la Russie critique la décision de RBS

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